Allez dans les maisons de nos grands hommes

Allez dans les maisons de nos grands hommes

Allez dans les maisons de nos grands hommes

Allez dans les maisons de nos grands hommes - comme vivre dans le pays - que Dieu a fait de grands, pas d'argent - et de voir comment ils vivent. Nous ne parlons pas des hommes d'Etat et les politiciens seul, mais de grands commerçants, de grands savants, de grands théologiens, les grands mécaniciens, et tous les hommes qui, dans l'esprit et réalisations, sont tête et des épaules au-dessus de leur classe dans l'un des domaines de la vie, et que vous trouvez pas d'amidon, ou flummery à leur sujet. Nous sommes allés une fois à la maison de campagne - il a vécu là tout le temps, d'ailleurs - d'un banquier éminent de l'une de nos grandes villes, pour dîner et passer la journée avec lui. Il avait une petite ferme attaché à sa demeure, où il a gardé ses chevaux et vaches, ses cochons et ses volailles. Il avait une grande maison de campagne à deux étages plaine, avec une piazza courir sur trois côtés de celui-ci, à partir de laquelle une vue magnifique sur la ville voisine, et l'eau, et la terre, a été observée dans presque toutes les directions. Il était un homme instruit. Son père avait été un homme d'État distingué de la capacité et de la station à la maison, et un diplomate étranger, et lui-même instruit dans les plus hautes sphères de l'entreprise et de la société. Sa femme, elle aussi, était la fille d'un marchand de la ville distingué, tout son égal dans toutes les réalisations de la vie. Son propre richesse était compétent, il était le directeur de millions de la richesse des autres, et son rang dans la société était de la plus haute. Pourtant, avec toute cette réclamation auprès de la prétention, sa maison ne lui coûtera huit mille dollars - et il l'a construit en «jours-travail», aussi, de manière à présenter fidèlement fait, et les meubles en elle, en dehors de la bibliothèque, peintures et statues, ne lui a coûté trois mille. Chaque chambre c'était une une plaine, pas plus fortement fini de la maison de beaucoup de fermiers ne peut se permettre. Les meubles de toutes sortes était clair, les économies, peut-être, la vieille plaque de la famille, et comme il avait ajouté à ce qui était important, et conçu pour être utilisé. Les plus jeunes - et parmi eux, jeunes et plus âgés, il a eu plusieurs - nous avons trouvé heureux, sain, gai, et gambader sur les tapis et leur digne mère, dans le plus simple, costume encore tout à fait approprié, était assis parmi eux, à sa couture de la famille, et nous a gentiment accueilli comme nous avons pris nos places en face de l', cheminée rougeoyante ouvert. "Pourquoi, monsieur," nous exclamés, en se frottant les mains à la lueur confortable de chaleur que le feu avait donné - car c'était une journée froide Décembre - "vous êtes tout à fait ordinaire, ainsi que merveilleusement confortable, dans votre maison de campagne - assez différent de votre ancienne résidence de la ville! " "Pour être sûr que nous sommes», fut la réponse: «Nous sommes restés aussi longtemps que nous le pouvions, au milieu de l'amidon et les Gimcracks de - rue, où nous avions rarement un jour à nous-mêmes, et les enfants ne pourrait jamais aller dans l' rues, mais ils doivent être étiquetés et glands, dans leur robe, dans toutes sortes de malaises, par simple souci de l'apparence. Ainsi, après être resté aussi longtemps que nous le pouvions, ma femme et moi déterminées nous allions essayer le pays, pour un . tout, et voyons ce que nous pourrions en faire Nous avons gardé notre maison de ville, dans laquelle nous sommes retournés pour un hiver ou deux, mais il a abandonné pour une résidence permanente ici, avec laquelle nous sommes parfaitement satisfaits Nous voyons ici toute l'. amis que nous voulons voir, nous aimons tous nous-mêmes, et les enfants sont en bonne santé et heureux ". Et ce n'est qu'un échantillon des milliers de familles dans la jouissance de la vie du pays, y compris les familles des hommes dans la plus haute station et possédait des richesses suffisantes.