Se nourrissait de sauterelles et de miel sauvage dans les déserts arides de Palestine
Nous les appelons domestique. Dans un sens, ils sont donc, dans l'autre, ils sont aussi sauvage et indomptée que lorsque bourdonnement et recueillir leurs bonbons dans le vignoble de Timna, où le puissant Sampson ont pris leur miel dans le corps du lion mort, ou, comme quand Jean- Baptiste, un vêtement de poils de chameau, mangé "sauterelles et de miel sauvage" dans les étendues arides de la Palestine. Bien que tenu en esclavage partiel depuis six mille ans, la propension au pouvoir de l'abeille est de chercher une maison et un abri dans la forêt, quand il émerge dans un essaim de la ruche mère, et aucune somme d'hébergement domestique, ou la bonté de traitement, va induire volontiers à migrer de son habitation de la pépinière à l'autre par son côté, bien fourni avec l'élite des conforts d'inviter son entrée. Il sera bientôt voler dans les bois, entrez un arbre creux et délabré, et tailler pour lui-même ses futures fortunes, au milieu d'un monde du travail et de l'inconfort apparent. L'abeille, trop, sauf son industrie, de la patience, et les travaux sucrées, est un voleur fieffé - voler ses voisins les plus proches, en toute impunité, quand le plus fort, et l'abattage sans pitié ses frères plus faibles, en se tenant debout dans la voie de sa rapacité. Il a été vanté pour son ingéniosité, sa patience, son industrie, sa persévérance et sa vertu. Patience, de l'industrie et de persévérance, il a, sans aucun doute, et dans un merveilleux degré, mais l'ingéniosité et de la vertu, il n'en a pas, plus que l'araignée, qui tisse sa toile sans valeur, ou la guêpe, qui vous pique quand troubler son travaux. Instinct, l'abeille a, comme tous les animaux, mais du sentiment de genre, et de gratitude, il n'a rien, et avec tous nos souvenirs de crèche vivante de la charmante petite hymne bon docteur Watts -
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